Pendant quatre ans de vie chez les Hurons, il y découvre une société très structurée, primitive par la technologie, très libre et bienveillante pour ses membres, ainsi qu’une culture très riche. Marqué par cette expérience Pierre sera bientôt un interprète habile à négocier avec les Amérindiens et dont le désir d’acculturation l’amènera à épouser une jeune huronne qui décédera à la naissance de son premier enfant.

C’était un des projets caressés par les religieux de la colonie de créer un nouveau peuple en mêlant les sangs français et amérindiens.